La réforme de l’éducation sexuelle est attaquée
Un avocat a demandé l’ouverture d’une procédure administrative pour établir l’illégalité du projet d’administration de l’instruction publique.

Cours d’éducation sexuelle pour enfants dans une école primaire à Genève en 2005 (archive)
Pierre Appensor / TDG
Il ne fait aucun doute que la réforme de l’éducation à la santé sexuelle a pris un coup dur. Ce projet du ministère de l’Instruction publique, qui divise le travail actuel des formateurs en deux, l’un pour élaborer des cours et l’autre pour dispenser, a déjà provoqué l’opposition des syndicats et une grève des salariés. (Lis édition du 31 mars). Puis le Grand Conseil a demandé au Conseil d’Etat d’entamer des négociations. Il faudra désormais compter sur l’intervention d’un avocat, a-t-il révélé lac Léman bleu Vendredi soir.
L’avocat, qui représente le père d’un étudiant et entraîneur, veut abandonner la réforme et créer des emplois supplémentaires. Selon elle, la réforme stipule que “les cours sont créés par des instructeurs qui ne seront pas en contact avec les élèves. Il est important de maintenir ce contact afin de ne pas dispenser un cours unifié, mais de traiter chaque classe selon ses besoins”. .”
Sophie Simon Elle est journaliste au département genevois depuis 2011. Elle enquête notamment dans les domaines de l’éducation, de la santé, du tourisme et de la politique. Il couvre également les rapports du Bureau d’audit de l’État et les décisions de la Cour fédérale. Elle est titulaire d’un master en journalisme du CELSA (Sorbonne).
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